On a tous envie de faire de belles choses, de réussir notre vie comme on dit. On a besoin de se sentir fiers pour exister. Mais ça ne marche pas forcément seulement pour soi. On applique souvent cette doctrine pour les autres, surtout ses proches. On aime les voir heureux, on aime quand ils se marient, dans un beau mariage ensoleillé, on aime qu'ils fassent de magnifiques enfants, on aime les voir réussir un rendez-vous, une présentation importante, obtenir une augmentation ou réunir un maximum de monde à leur premier vernissage d'artiste.
On est donc exigeants avec nous-même et avec les autres. Mais très souvent on est déçus. Autant l'avouer tout de suite. Il y a peu d'élus parmi les Winners. Alors autant s'assumer tout de suite en Looser. Ca va à l'encontre de la bienséance, c'est un état de fait complètement à contre-courant de notre société mais c'est pourtant en revoyant nos objectifs à la baisse qu'on sera en accord avec nous-même. Libres de toute pression, légers, heureux...
Winner/Looser... Je n'utilise pas l'anglais par hasard. Cette segmentation sur la réussite, ce culte de la performance, c'est un courant de pensée typiquement américain voire anglais. La condition sinequanone pour bien vivre le capitalisme. Se réaliser dans la consommation, se réaliser dans l'ambition, le travail et le pouvoir qui en découle. Quelle utopie ! Le jeu en vaut-t-il vraiment la chandelle ? Combien autour de vous ont déjà succombé ? Combien d'entrepreneurs hi-tech recyclés dans l'élevage de chèvre ? Combien de danseuses étoiles de 17 ans qui n'ont pas vu passer leur insouciante jeunesse ? Combien d'expatriés au bout du monde revenus un an après fauchés et démoralisés ? Combien d'intellectuels qui ne savent pas profiter d'une belle journée de plage au soleil... Et autant de consultations chez le psy.
Soyons réalistes mais n'oublions pas nos rêves pour autant. Pour reprendre un vieil adage un peu usé : l'important c'est de participer. Comprenez : il faut au moins tenter d'atteindre son rêve. Essayer d'être un Winner c'est une bonne chose dans le fond. Il s'agit de ne pas regretter plus tard de ne pas avoir tenté le coup, ne pas être allé au bout de soi-même, de ses capacités. Mais face à l'échec, surtout ne pas s'acharner au risque de s'user le moral. Il faut savoir faire demi-tour à tant. Accepter l'échec et voir le positif : enfin vous voilà libre. Heureux comme un Looser !
jeudi, février 18, 2010
dimanche, janvier 03, 2010
Les poilicitiens interdits de communiquer !
Les politiciens font trop de télé, trop de Presse, ils ont même infesté le Web (blog, Tweeter, Facebook...). On est tous d'accord là-dessus. Sarkozy étant d'ailleurs le fer de lance de cette mouvance. La communication à outrance !
Ils sont partout à la télé (leur média préféré car le plus populaire, le plus influent, le plus émotionnel). Plus seulement sur les émissions politiques, mais aussi dans les émissions de divertissement. Ils vont chez Drucker, ils accompagnent leur dulcinée sur une interview culturelle, ils font même de la publicité, ils entretiennent un blog et bavassent sur Tweeter.
Le travail d'un politicien semble désormais se résumer à faire de l'image, choisir les bons mots, inventer l'expression qui sera reprise partout dans la Presse, proposer l'action qui buzzera, faire la grosse connerie que tout le monde se transfert sur le Web (le Lipdub de l'UMP)... Quand font-ils de la politique ? On se croirait constamment en campagne électorale !
Et ce n'est d'ailleurs pas toujours à leur avantage. Pour un élu gagné avec un discours ils en perdent souvent un autre. Le consensus est très compliqué à obtenir quand on est surmédiatisé. Chaque erreur, chaque faux pas prend une tournure démésurée. Les politiciens n'ont plus le droit à l'erreur alors la langue de bois prend encore plus de place. On n'ose plus rien dire si ce n'est pas réflêchi, testé, "stratégifié", "démagogisé". Résultat : fini le naturel, fini l'engagement et les prises de position. Que du calcul, tout le monde adopte le même discours formaté. Surtout ne pas se faire d'ennemis chez les électeurs et les médias.
Et si la solution aux dérives politiques, et au désintéressement des français à la politique, était d'interdire la communication aux homme politiques ? Tout simplement...
Les médecins n'ont pas le droit de communiquer eux ! Imaginez votre généraliste se vanter dans votre rue, en 4 mètres par 3, qu'il est le meilleur généraliste du quartier, le plus sympa. Et en bonus il signe de faux arrêts maladie pour ses meilleurs clients (on ne parle plus de patients dans ce cas là)... Les poiliticiens eux le font sans complexe ! Et pourtant c'est encore moins justifié. Si on a interdit les médecins de communiquer c'est pour éviter de créer un contexte de concurrence et une notion de "marché" sur un service public. Pourquoi pas en politique ? N'avez-vous pas l'impression en regardant le JT d'assister à une foire internationale à la politique ? Avec ses slogans bidons, ses polémiques de comptoir, ses coups bas, ses pubs comparatives ?
Interdisons aux politiciens de communiquer ! Qu'ils se contentent d'un programme clair et précis en période électorale et de dépêches factuelles pour nous faire part de leurs actions concrètes. On repartira déjà sur de meilleures bases.
Ils sont partout à la télé (leur média préféré car le plus populaire, le plus influent, le plus émotionnel). Plus seulement sur les émissions politiques, mais aussi dans les émissions de divertissement. Ils vont chez Drucker, ils accompagnent leur dulcinée sur une interview culturelle, ils font même de la publicité, ils entretiennent un blog et bavassent sur Tweeter.
Le travail d'un politicien semble désormais se résumer à faire de l'image, choisir les bons mots, inventer l'expression qui sera reprise partout dans la Presse, proposer l'action qui buzzera, faire la grosse connerie que tout le monde se transfert sur le Web (le Lipdub de l'UMP)... Quand font-ils de la politique ? On se croirait constamment en campagne électorale !
Et ce n'est d'ailleurs pas toujours à leur avantage. Pour un élu gagné avec un discours ils en perdent souvent un autre. Le consensus est très compliqué à obtenir quand on est surmédiatisé. Chaque erreur, chaque faux pas prend une tournure démésurée. Les politiciens n'ont plus le droit à l'erreur alors la langue de bois prend encore plus de place. On n'ose plus rien dire si ce n'est pas réflêchi, testé, "stratégifié", "démagogisé". Résultat : fini le naturel, fini l'engagement et les prises de position. Que du calcul, tout le monde adopte le même discours formaté. Surtout ne pas se faire d'ennemis chez les électeurs et les médias.
Et si la solution aux dérives politiques, et au désintéressement des français à la politique, était d'interdire la communication aux homme politiques ? Tout simplement...
Les médecins n'ont pas le droit de communiquer eux ! Imaginez votre généraliste se vanter dans votre rue, en 4 mètres par 3, qu'il est le meilleur généraliste du quartier, le plus sympa. Et en bonus il signe de faux arrêts maladie pour ses meilleurs clients (on ne parle plus de patients dans ce cas là)... Les poiliticiens eux le font sans complexe ! Et pourtant c'est encore moins justifié. Si on a interdit les médecins de communiquer c'est pour éviter de créer un contexte de concurrence et une notion de "marché" sur un service public. Pourquoi pas en politique ? N'avez-vous pas l'impression en regardant le JT d'assister à une foire internationale à la politique ? Avec ses slogans bidons, ses polémiques de comptoir, ses coups bas, ses pubs comparatives ?
Interdisons aux politiciens de communiquer ! Qu'ils se contentent d'un programme clair et précis en période électorale et de dépêches factuelles pour nous faire part de leurs actions concrètes. On repartira déjà sur de meilleures bases.
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mercredi, décembre 30, 2009
L'école des stars : flippant !
Je viens de découvrir l'émission "L'école des stars" sur Direct 8. Vous me direz : "encore une télé-réalité sur plateau TV avec des apprentis-stars"... Et c'est pas faux... Mais quand-même... Je suis halluciné par le talent des ces mômes de 9 à 12 ans et par le bon esprit de l'émission (moins puant et showbiz' que les autres). Mais à contrario je suis un peu moins enthousiaste quand je m'attache au fond du truc. On est pile dans le culte du rêve que prône notre génération de téléspectateurs. Et ça commence ainsi de plus en plus tôt... Les enfants de maintenant ne rêvent plus d'être pompier, policier ou vétérinaire, ils rêvent tous d'être des stars ! Quel genre de star ? Peu importe : une star ! S'il faut chanter, jouer la comédie ou se rendre ridicule pour ça ils le feront ! Et leurs parents seront les plus fiers du monde...
Allez quand même écouter Anne et Léo, finalistes de la promo 2009 de l'école des stars (c'est Léo le grand gagnant et c'est mérité). C'est à peine croyable... Des voix fantastiques ça on en a déjà vu même à cet âge. Mais du style, du feeling, du groove comme eux deux, franchement je sais pas... Que de travail pour en arriver là j'imagine. J'imagine d'ailleurs une enfance gâchée à répéter avec un prof de chant russe et sa baguette. J'exagère mais bon, je doute qu'on puisse atteindre ce niveau de justesse, de précision dans le tempo et de comportement en public sans un travail acharné.
Ce qui frappe aussi c'est de les écouter parler, commenter leur prestation, répondre aux critiques, parler de leur passion, de leur avenir... Flippant ! Comment peut-on parler comme ça à 10 balais ? Avec autant de vocabulaire, d'enthousiasme, avec le ton qui va bien et parfois même la démogagie qui va avec. Showbiz' baby !
Et en même temps. Est-ce qu'à cet âge là on peut vraiment tricher sans que ça se voit ? Je pense tout particulièrement au petit Léo qui semble tout droit déscendu de son vélo-cross et qui passant dans le coin nous a chanté une pure chanson, à l'aise, avec un max de sensibilité et de style. Est-ce qu'il peut vraiment tricher ? Peut-être est-il vraiment passionné. Peut-être est-ce un génie avant l'heure.
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Allez quand même écouter Anne et Léo, finalistes de la promo 2009 de l'école des stars (c'est Léo le grand gagnant et c'est mérité). C'est à peine croyable... Des voix fantastiques ça on en a déjà vu même à cet âge. Mais du style, du feeling, du groove comme eux deux, franchement je sais pas... Que de travail pour en arriver là j'imagine. J'imagine d'ailleurs une enfance gâchée à répéter avec un prof de chant russe et sa baguette. J'exagère mais bon, je doute qu'on puisse atteindre ce niveau de justesse, de précision dans le tempo et de comportement en public sans un travail acharné.
> Anne interprêtant " Les feuilles mortes "
> Léo interprêtant " Le temps qui court "
Ce qui frappe aussi c'est de les écouter parler, commenter leur prestation, répondre aux critiques, parler de leur passion, de leur avenir... Flippant ! Comment peut-on parler comme ça à 10 balais ? Avec autant de vocabulaire, d'enthousiasme, avec le ton qui va bien et parfois même la démogagie qui va avec. Showbiz' baby !
Et en même temps. Est-ce qu'à cet âge là on peut vraiment tricher sans que ça se voit ? Je pense tout particulièrement au petit Léo qui semble tout droit déscendu de son vélo-cross et qui passant dans le coin nous a chanté une pure chanson, à l'aise, avec un max de sensibilité et de style. Est-ce qu'il peut vraiment tricher ? Peut-être est-il vraiment passionné. Peut-être est-ce un génie avant l'heure.
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jeudi, octobre 15, 2009
L'ultimatum Climatique : Copenhague 2009
SI LA NATURE, LE CLIMAT EST EN TRAIN DE REPRENDRE LE POUVOIR SUR NOTRE TERRE C'EST A CAUSE DE NOUS
A Copenhague, faites entendre votre voix !
envoyé par Ultimatum-climatique. - L'info internationale vidéo.
kyoto ça vous parle ? Le protocole sans doute... Qui visait à réduire les émissions de carbone sur Terre. Semi echec... Aujourd'hui on parle de Copenhague comme la suite de Kyoto mais en plus fort, en plus global, en plus décisif aussi. De nombreux spécialistes s'accordent à dire que si Copenhague ne déclenche pas de réactions sérieuses du côté des dirigeants de ce monde, on sera clairement dans la merde...
QU'EST-CE QU'ON PEUT FAIRE ?
La première chose, la plus simple, la plus rapide, signer " l'ultimatum climatique " : sorte de pétition montrant l'implication des populations du monde entier face à cette problématique.
Ca se passe ici : http://copenhague-2009.com
Et y'a aussi une Fan Page sur Facebook : devenez fan !
POURQUOI ?
Nicolas Hulot soutient l'appel "Ultimatum Climatique"
envoyé par Ultimatum-climatique. - L'info internationale vidéo.
Nicolas Hulot s'engage avec sa fondation pour convaincre les gens (vous et moi), les politiciens et les grands patrons sur la nécessité d'une réaction rapide. Allez voir son film "le syndrome du Titanic", vous comprendrez mieux.
A Copenhague, faites entendre votre voix !
envoyé par Ultimatum-climatique. - L'info internationale vidéo.
kyoto ça vous parle ? Le protocole sans doute... Qui visait à réduire les émissions de carbone sur Terre. Semi echec... Aujourd'hui on parle de Copenhague comme la suite de Kyoto mais en plus fort, en plus global, en plus décisif aussi. De nombreux spécialistes s'accordent à dire que si Copenhague ne déclenche pas de réactions sérieuses du côté des dirigeants de ce monde, on sera clairement dans la merde...
QU'EST-CE QU'ON PEUT FAIRE ?
La première chose, la plus simple, la plus rapide, signer " l'ultimatum climatique " : sorte de pétition montrant l'implication des populations du monde entier face à cette problématique.
Ca se passe ici : http://copenhague-2009.com
Et y'a aussi une Fan Page sur Facebook : devenez fan !
POURQUOI ?
Nicolas Hulot soutient l'appel "Ultimatum Climatique"
envoyé par Ultimatum-climatique. - L'info internationale vidéo.
Nicolas Hulot s'engage avec sa fondation pour convaincre les gens (vous et moi), les politiciens et les grands patrons sur la nécessité d'une réaction rapide. Allez voir son film "le syndrome du Titanic", vous comprendrez mieux.
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dimanche, juillet 05, 2009
Echangeons nos planètes
Je viens d’apprendre, grâce à un des nombreux reportages scientifiques de France 5, que des scientifiques de tous bords travaillent déjà sur une catastrophe annoncée : la mort du soleil. Qui dit mort du soleil ne dit pas congélation de la Terre mais eu contraire nous laisse présager un belle ambiance de rôtissoire puisque celui-ci grossira 250 fois avant de mourir (pour faire simple) et donc détruira la Terre à petit feu.
Un des filons de recherche les plus sérieux pour entraver ce futur fort désagréable consiste non pas à nous protéger ou essayer de « gérer » le soleil mais bel et bien de fuir. Et cette tactique habile est bien souvent préconisée lorsqu’on parle de chaos terrestre. Vite fuyons ! Concentrons-nous deux secondes sur 3 exemples à peine croyables.
Où pourrions-nous donc aller ? La planète la plus proche suffirait-elle à nous mettre à l’abri. Je parle de Mars bien entendu… Et bien oui ! Mais, on le sait bien, Mars n’est pas apte à recevoir les terriens et notre mode de vie, à savoir : respirer. Pour accueillir les quelques milliards de terriens (un autre vaste débat pour plus tard : le transport … et les « élus » au transport…) il faudra donc préparer un peu le terrain. La solution qui m’a été présentée sur France 5 : un canon ! Un canon d’une violence rare qui pourrait balancer sur Mars un projectile suffisamment puissant pour faire ressortir le trésor de notre planète voisine découvert récemment par une mission spatiale : la glace ! Sous la surface aride de Mars il y aurait en effet de la glace, donc de l’eau : l’élément essentiel à la création d’une atmosphère respirable. L’explosion générée à l’impact du projectile ferait ressortir cette glace enfouie. Il suffirait ensuite de viser Mars à plusieurs reprises pour y recréer le climat de la Terre fait de terre et d’eau.
Autre solution, toujours sur Mars : utiliser notre grande expérience de la pollution, du réchauffement climatique, produit par l’excès de dioxyde de carbone, pour l’exporter sur Mars. Quelle belle image ! Mais en effet ce qui constitue une pollution chez nous n’a pas le même impact ailleurs. Il s’agirait donc de réchauffer Mars (via des usines super polluantes en gros) jusqu’à atteindre la température idéale pour la climatiser à notre image.
Une dernière solution, la plus hallucinante de par sa simplicité extrême (dans le concept), déplacer la Terre. Bah oui pourquoi pas… Ca règle le problème du transport. Il suffirait en fait d’aller chercher des astéroïdes de 150 kilomètres de diamètre loin (très loin) de chez nous et les dévier vers la Terre (avec des fusées surpuissantes) pour la raser de près. Ca fait peur hein ? Faudra pas se planter dans les calculs ! Le fait de croiser la Terre à une vitesse démentielle produirait un effet physique à grande échelle qui aurait pour effet de dévier la terre de sa trajectoire cyclique habituelle et l’éloigner, en à peine 6 000 ans, de 50 kilomètres du soleil. Opération donc à répéter tous les 6 000 ans afin de s’éloigner suffisamment du soleil et son rayon d’action mortel.
C’est peut-être une réaction étrange, mais pour moi la première chose que je me suis dit en apprenant ça c’est : « mais putain si on cherche à fuir notre planète pour en coloniser une nouvelle, pourquoi les autres, les extra-terrestres donc, ne feraient pas la même chose ? ». On ne va pas repartir ici sur le débat de l’existence ou non d’une autre vie ailleurs. Partons du constat qu’ils existent par simple pensée métaphysique. Si nous existons : ils existent forcément…
Je me suis donc imaginé directement des projectiles gigantesques de la taille de Paris balancés sur Terre créant des cratères énormes visant à faire ressortir une richesse souterraine peut-être inconnue chez nous mais indispensable aux martiens. Pas de pitié ! Puisque, comme nous, ils ne sont pas conscients de notre présence sur la planète qu’ils ont choisit. Pourquoi auraient-ils de la pitié ? Eux n’ont rien à foutre de l’eau et de l’air, ne voient pas les petits êtres que nous sommes (peut-être n’ont-ils pas d’yeux) et se disent juste : « mortel enfin une planète gavée de pétrole » (ça c’était il y a 50 ans) ou gavée de je ne sais quelle molécule dont ils raffolent.
S’ils ne savent pas fabriquer un canon peut-être sauront-ils bien nous polluer. Je les vois déjà leurs énormes usines à poussière… Mais peut-être ont-ils déjà commencé le travail depuis un moment. Peut-être que le dioxyde de carbone est une invention extra-terrestre, de mèche avec les industriels à qui ils ont promis fortune (l’or coule à flot sur leur planète) et vie éternelle.
On pourrait même aller bien plus loin si on envisage une invasion extra-terrestre sur le long terme plutôt que massivement et en un jour comme on aime l’imaginer dans les fictions. Supposons que les envahisseurs ne soient pas pressés, supposons ensuite qu’ils soient vraiment futés et préfèrent se servir de nous pour nous exterminer et transformer la terre à leur image ; plutôt que de venir nous envahir eux-même. Et si E.T. était venu nous voir il ya des centaines de milliers d’année (quand l’homme n’était pas encore le chef) et avait décelé en nous la capacité adéquate pour porter la bactérie qu’il comptait nous injecter ? S’il nous avait offert un cerveau ? Si le cerveau n’était pas terrien mais importé ? Pourquoi pas ? E.T. serait donc venu il y a bien longtemps avec la ferme intention de nous injecter, à nous les hommes, ce qu’il nous manquait pour venir à bout de notre propre espèce, en toute autonomie, et par la même occasion transformer notre planète grâce à la pollution. E.T. nous a offert l’intelligence ! Et elle s’est répandue sur terre comme un simple virus…
Moi j’ai envie de dire un truc à E.T., aux martiens et autres envahisseurs… E.T. si tu m’écoutes : arrête tes conneries! Viens reprendre ton cerveau et échangeons nos planètes. Avec un peu de chance on sera tous sauvés !
Un des filons de recherche les plus sérieux pour entraver ce futur fort désagréable consiste non pas à nous protéger ou essayer de « gérer » le soleil mais bel et bien de fuir. Et cette tactique habile est bien souvent préconisée lorsqu’on parle de chaos terrestre. Vite fuyons ! Concentrons-nous deux secondes sur 3 exemples à peine croyables.
Où pourrions-nous donc aller ? La planète la plus proche suffirait-elle à nous mettre à l’abri. Je parle de Mars bien entendu… Et bien oui ! Mais, on le sait bien, Mars n’est pas apte à recevoir les terriens et notre mode de vie, à savoir : respirer. Pour accueillir les quelques milliards de terriens (un autre vaste débat pour plus tard : le transport … et les « élus » au transport…) il faudra donc préparer un peu le terrain. La solution qui m’a été présentée sur France 5 : un canon ! Un canon d’une violence rare qui pourrait balancer sur Mars un projectile suffisamment puissant pour faire ressortir le trésor de notre planète voisine découvert récemment par une mission spatiale : la glace ! Sous la surface aride de Mars il y aurait en effet de la glace, donc de l’eau : l’élément essentiel à la création d’une atmosphère respirable. L’explosion générée à l’impact du projectile ferait ressortir cette glace enfouie. Il suffirait ensuite de viser Mars à plusieurs reprises pour y recréer le climat de la Terre fait de terre et d’eau.
Autre solution, toujours sur Mars : utiliser notre grande expérience de la pollution, du réchauffement climatique, produit par l’excès de dioxyde de carbone, pour l’exporter sur Mars. Quelle belle image ! Mais en effet ce qui constitue une pollution chez nous n’a pas le même impact ailleurs. Il s’agirait donc de réchauffer Mars (via des usines super polluantes en gros) jusqu’à atteindre la température idéale pour la climatiser à notre image.
Une dernière solution, la plus hallucinante de par sa simplicité extrême (dans le concept), déplacer la Terre. Bah oui pourquoi pas… Ca règle le problème du transport. Il suffirait en fait d’aller chercher des astéroïdes de 150 kilomètres de diamètre loin (très loin) de chez nous et les dévier vers la Terre (avec des fusées surpuissantes) pour la raser de près. Ca fait peur hein ? Faudra pas se planter dans les calculs ! Le fait de croiser la Terre à une vitesse démentielle produirait un effet physique à grande échelle qui aurait pour effet de dévier la terre de sa trajectoire cyclique habituelle et l’éloigner, en à peine 6 000 ans, de 50 kilomètres du soleil. Opération donc à répéter tous les 6 000 ans afin de s’éloigner suffisamment du soleil et son rayon d’action mortel.
C’est peut-être une réaction étrange, mais pour moi la première chose que je me suis dit en apprenant ça c’est : « mais putain si on cherche à fuir notre planète pour en coloniser une nouvelle, pourquoi les autres, les extra-terrestres donc, ne feraient pas la même chose ? ». On ne va pas repartir ici sur le débat de l’existence ou non d’une autre vie ailleurs. Partons du constat qu’ils existent par simple pensée métaphysique. Si nous existons : ils existent forcément…
Je me suis donc imaginé directement des projectiles gigantesques de la taille de Paris balancés sur Terre créant des cratères énormes visant à faire ressortir une richesse souterraine peut-être inconnue chez nous mais indispensable aux martiens. Pas de pitié ! Puisque, comme nous, ils ne sont pas conscients de notre présence sur la planète qu’ils ont choisit. Pourquoi auraient-ils de la pitié ? Eux n’ont rien à foutre de l’eau et de l’air, ne voient pas les petits êtres que nous sommes (peut-être n’ont-ils pas d’yeux) et se disent juste : « mortel enfin une planète gavée de pétrole » (ça c’était il y a 50 ans) ou gavée de je ne sais quelle molécule dont ils raffolent.
S’ils ne savent pas fabriquer un canon peut-être sauront-ils bien nous polluer. Je les vois déjà leurs énormes usines à poussière… Mais peut-être ont-ils déjà commencé le travail depuis un moment. Peut-être que le dioxyde de carbone est une invention extra-terrestre, de mèche avec les industriels à qui ils ont promis fortune (l’or coule à flot sur leur planète) et vie éternelle.
On pourrait même aller bien plus loin si on envisage une invasion extra-terrestre sur le long terme plutôt que massivement et en un jour comme on aime l’imaginer dans les fictions. Supposons que les envahisseurs ne soient pas pressés, supposons ensuite qu’ils soient vraiment futés et préfèrent se servir de nous pour nous exterminer et transformer la terre à leur image ; plutôt que de venir nous envahir eux-même. Et si E.T. était venu nous voir il ya des centaines de milliers d’année (quand l’homme n’était pas encore le chef) et avait décelé en nous la capacité adéquate pour porter la bactérie qu’il comptait nous injecter ? S’il nous avait offert un cerveau ? Si le cerveau n’était pas terrien mais importé ? Pourquoi pas ? E.T. serait donc venu il y a bien longtemps avec la ferme intention de nous injecter, à nous les hommes, ce qu’il nous manquait pour venir à bout de notre propre espèce, en toute autonomie, et par la même occasion transformer notre planète grâce à la pollution. E.T. nous a offert l’intelligence ! Et elle s’est répandue sur terre comme un simple virus…
Moi j’ai envie de dire un truc à E.T., aux martiens et autres envahisseurs… E.T. si tu m’écoutes : arrête tes conneries! Viens reprendre ton cerveau et échangeons nos planètes. Avec un peu de chance on sera tous sauvés !
lundi, avril 20, 2009
Pourquoi déprime-t-on ?
Comment expliquer les dépressions à répétition qui minent notre génération ? Pourquoi déprime-t-on plus maintenant qu'avant ? Personne ne discutera au moins cet état de fait : on a jamais vu autant de dépressifs, de clients pour les psychologues, psychiatres and co... On a jamais consommé autant d'anti-dépresseurs, on a jamais autant voulu changer de vie. Nous nous prenons la tête ! Mais pourquoi ? Pourquoi maintenant et pas avant ?
C'est très simple... Ca tient en deux mots : médias et rêve !
En gros je pense que ce sont les médias qui ont insufflé cette souffrance en nous. Le 20ème siècle fut le siècle des médias et ils ont amené avec eux quelque chose de foncièrement nouveau dans notre société : l'ouverture sur le monde, l'ouverture sur les autres. Nous avons pris conscience de l'existence de l'autre, celui qui vit loin, loin de nous géographiquement mais aussi socialement.
Un exemple : celui qui touche le SMIC aujourd'hui ne peux pas nier l'existence des milliardaires, leurs yachts, leur beauté, leurs grosses voitures, leur villa sur la côté, leur travail épanouissant dans le show bisness... Bref il est envieux, voire jaloux ou frustré. Avant, le simple paysan n'avait qu'une vague idée de la vie des seigneurs, nobles ou chevaliers. Il n'avait connaissance que des gens de son monde. Il se posait donc moins de questions, il ne s'alarmait que sur du concret, sur des injustices bien réelles (partages des terres, taxes exagérées etc...).
Les médias nous ont donc donné conscience de la tristesse et la "médiocrité" de notre vie. Mais on pourrait s'en contenter et se dire que c'est mieux que rien. On pourrait paraphraser le groupe de rap marseillais IAM : "Tant pis, on est pas nés sous la même étoile". Mais non, ça serait trop facile...
En plus de nous avoir ouvert sur le monde, les médias nous ont imposé un système de pensée : le culte du rêve ! Ils nous amènent à croire qu'on peut nous aussi rêver d'une vie meilleure, d'une vie de rêve. On peut gagner au loto, on peut partir de rien et devenir riche en vendant des glaces, on peut faire une rencontre miracle ou changer de vie en déménageant au soleil ou à la campagne... Ah si c'était aussi simple ! S'il y avait de la place pour tout le monde...
En conclusion j'ai envie de dire : pour vivre heureux, éteignez la télé et ne rêvez pas trop fort !
C'est très simple... Ca tient en deux mots : médias et rêve !
En gros je pense que ce sont les médias qui ont insufflé cette souffrance en nous. Le 20ème siècle fut le siècle des médias et ils ont amené avec eux quelque chose de foncièrement nouveau dans notre société : l'ouverture sur le monde, l'ouverture sur les autres. Nous avons pris conscience de l'existence de l'autre, celui qui vit loin, loin de nous géographiquement mais aussi socialement.
Un exemple : celui qui touche le SMIC aujourd'hui ne peux pas nier l'existence des milliardaires, leurs yachts, leur beauté, leurs grosses voitures, leur villa sur la côté, leur travail épanouissant dans le show bisness... Bref il est envieux, voire jaloux ou frustré. Avant, le simple paysan n'avait qu'une vague idée de la vie des seigneurs, nobles ou chevaliers. Il n'avait connaissance que des gens de son monde. Il se posait donc moins de questions, il ne s'alarmait que sur du concret, sur des injustices bien réelles (partages des terres, taxes exagérées etc...).
Les médias nous ont donc donné conscience de la tristesse et la "médiocrité" de notre vie. Mais on pourrait s'en contenter et se dire que c'est mieux que rien. On pourrait paraphraser le groupe de rap marseillais IAM : "Tant pis, on est pas nés sous la même étoile". Mais non, ça serait trop facile...
En plus de nous avoir ouvert sur le monde, les médias nous ont imposé un système de pensée : le culte du rêve ! Ils nous amènent à croire qu'on peut nous aussi rêver d'une vie meilleure, d'une vie de rêve. On peut gagner au loto, on peut partir de rien et devenir riche en vendant des glaces, on peut faire une rencontre miracle ou changer de vie en déménageant au soleil ou à la campagne... Ah si c'était aussi simple ! S'il y avait de la place pour tout le monde...
En conclusion j'ai envie de dire : pour vivre heureux, éteignez la télé et ne rêvez pas trop fort !
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mercredi, novembre 05, 2008
Obama : i wasn't sleeping but now i'm scared
In homage to America, i wanted tonight to write this post in english. As good as i can for a poor not very fluent french...
They did it ! American people elected Barack Obama as the president of the United States of America. And i was not sleeping ! It was late in france (3 am) but i couldn't miss it so i am convinced it's a real historical event in the whole world. I was in front of my TV, not in Harlem streets, but i was there !
I'm just starting to change my mind about America and Americans. Till now they were really frightening me. Now i'm wondering that these people are finally serious... At last !
That's the really first time a political character makes me believe in him. Its communication strategy was very good i think, but there's something else. There's a movement, there's a man who offers to us a real new vision of politics, a modern one. He speaks with real words, he seems to be true. He seems to be guided by passion not by power or money. This man lives for equality ! It sounds like Mary Poppins, i know... But for once i want to believe in a political movement. Once in my life.
Obama won. Ok that's a fact... But now i'm scared. I can be optimistic on the fact that he will be a good president but i'm not very confident in his opponents. And god knows they are plenty ! All the good things that happen to our world are destroyed by extremists and powerful people. I'm not just thinking about Malcom X or Martin Luther King... This man seems too good for such a bad world.
What is it going to happen to block Barack Obama's action ?
They did it ! American people elected Barack Obama as the president of the United States of America. And i was not sleeping ! It was late in france (3 am) but i couldn't miss it so i am convinced it's a real historical event in the whole world. I was in front of my TV, not in Harlem streets, but i was there !
I'm just starting to change my mind about America and Americans. Till now they were really frightening me. Now i'm wondering that these people are finally serious... At last !
That's the really first time a political character makes me believe in him. Its communication strategy was very good i think, but there's something else. There's a movement, there's a man who offers to us a real new vision of politics, a modern one. He speaks with real words, he seems to be true. He seems to be guided by passion not by power or money. This man lives for equality ! It sounds like Mary Poppins, i know... But for once i want to believe in a political movement. Once in my life.
Obama won. Ok that's a fact... But now i'm scared. I can be optimistic on the fact that he will be a good president but i'm not very confident in his opponents. And god knows they are plenty ! All the good things that happen to our world are destroyed by extremists and powerful people. I'm not just thinking about Malcom X or Martin Luther King... This man seems too good for such a bad world.
What is it going to happen to block Barack Obama's action ?
mardi, décembre 04, 2007
Inde : l'agriculture naturelle contre les industriels des produits chimiques
Un ancien agriculteur indien reconverti dans une association luttant pour revenir à une agriculture écologique (les indiens sont des gros consommateurs de pesticides et sureploitent leurs réserves en eau) forme les paysans du Panjab à des techniques vieilles comme le monde mais déjà oubliées pour cultiver leurs terres. Tout est dans la nature ! Vous n'avez besoin d'aucun produit chimique !
Engrais naturels, insectes déserbants et autres moyens naturels pour développer son exploitation : voilà les nouvelles armes de l'agriculture indienne qui font peur aux industriels des produits chimiques. Ces derniers on d'ailleurs attaqué en justice l'association en question en fabriquant des risques d'exploitation alimentaires liés à ces méthodes naturelles. Un comble ! Mais c'est bon signe ! Les industriels flippent, ils savent que leur marché est sur le déclin : les agriculteurs comme les consommateurs sont de plus en plus conscients des dangers de leurs produits...
Engrais naturels, insectes déserbants et autres moyens naturels pour développer son exploitation : voilà les nouvelles armes de l'agriculture indienne qui font peur aux industriels des produits chimiques. Ces derniers on d'ailleurs attaqué en justice l'association en question en fabriquant des risques d'exploitation alimentaires liés à ces méthodes naturelles. Un comble ! Mais c'est bon signe ! Les industriels flippent, ils savent que leur marché est sur le déclin : les agriculteurs comme les consommateurs sont de plus en plus conscients des dangers de leurs produits...
La France : plus gros consommateur mondial de pesticides
La France est le plus gros consommateur mondial de pesticides ! Devants les Etats-Unis qui en sont pourtant les inventeurs...
Le physique ou le psychique ? L'oeuf ou la poule ?
Depuis plusieurs années maintenant, deux ou trois ans, peut-être plus (je ne sais plus) je me sens fatigué... Suis-je fatigué physiquement, mon corps souffre-t-il ? Ou suis-je fatigué psychologiquement, suis-je sujet au surmenage ?
C'est bien le problème : je ne sais pas et personne ne semble avoir la réponse. Je pense que cette question, cette recherche de la source d'un mal être, aussi léger soit-il, beaucoup de gens se la posent.
Nos vies sont de plus en plus consacrées au travail, à l'ambition, à la recherche de la perfection sur tous les détails de notre vie, le culte de l'argent et du pouvoir... Le capitalisme en somme pour utiliser un mot presque galvaudé. La conséquence : le stress et la dépression deviennent un mal extrêmement répandu. Rares sont les citadins n'ayant jamais fréquenté un psy ! Est-ce notre mental qui est à l'origine de notre fatigue ? Est-ce ce le stress qui nous rend malade tout l'hiver, pas forcément gravement mais suffisamment pour se sentir fatigué chaque jour ?
Ou au contraire est-ce notre corps, fatigué, qui nous rend faible donc vulnérable psychologiquement ? Est-ce notre alimentation de plus en plus industrialisée (usines de porcs et autres surexploitations de poulets, pesticides, qualité nutritionnelle en déclin, manque de diversité des aliments, congélation...), la polution générale et notre immobilisme grandissant (transports, manque de temps pour le sport, fatigue...) qui nous atteint physiquement ? Du simple rhume au cancer généralisé sommes-nous fragilisés par notre environnement et nos habitudes consuméristes et culturelles ?
Encore une fois on a affaire, semble-t-il, à un cercle vicieux... Qu'est-ce qui nous tue à petit feu ? Notre tête ou notre corps ?
C'est bien le problème : je ne sais pas et personne ne semble avoir la réponse. Je pense que cette question, cette recherche de la source d'un mal être, aussi léger soit-il, beaucoup de gens se la posent.
Nos vies sont de plus en plus consacrées au travail, à l'ambition, à la recherche de la perfection sur tous les détails de notre vie, le culte de l'argent et du pouvoir... Le capitalisme en somme pour utiliser un mot presque galvaudé. La conséquence : le stress et la dépression deviennent un mal extrêmement répandu. Rares sont les citadins n'ayant jamais fréquenté un psy ! Est-ce notre mental qui est à l'origine de notre fatigue ? Est-ce ce le stress qui nous rend malade tout l'hiver, pas forcément gravement mais suffisamment pour se sentir fatigué chaque jour ?
Ou au contraire est-ce notre corps, fatigué, qui nous rend faible donc vulnérable psychologiquement ? Est-ce notre alimentation de plus en plus industrialisée (usines de porcs et autres surexploitations de poulets, pesticides, qualité nutritionnelle en déclin, manque de diversité des aliments, congélation...), la polution générale et notre immobilisme grandissant (transports, manque de temps pour le sport, fatigue...) qui nous atteint physiquement ? Du simple rhume au cancer généralisé sommes-nous fragilisés par notre environnement et nos habitudes consuméristes et culturelles ?
Encore une fois on a affaire, semble-t-il, à un cercle vicieux... Qu'est-ce qui nous tue à petit feu ? Notre tête ou notre corps ?
samedi, novembre 24, 2007
Travailler plus pour penser moins
La phrase n'est pas de moi mais je la trouve très juste. Pendant que le gouvernement nous explique qu'il faut travailler plus pour gagner plus on est en droit de se poser deux secondes pour se demander si on a vraiment envie de ça.
Ca a l'air con comme ça, mais a-t-on tous vraiment envie de gagner plus d'argent ou de travailler plus qu'on ne travaille déjà ? Au risque de fâcher ceux qui ne travaillent pas, ou pas assez, contre leur volonté, ou ceux qui aimeraient à juste titre avoir plus d'argent pour subvenir à des besoins de base, j'ai envie de dire non ! Non je ne veux pas travailler plus que ces 8/9 heures de travail effectif que je fais 5 jours par semaine et non je ne souhaite pas forcément gagner beaucoup plus. Car pour tout dire franchement j'aimerais gagner juste un peu plus pour assouvir certaines frustrations (bien souvent matérialistes je dois l'avouer) mais si possible en ne travaillant pas plus.
En effet, si je dois travailler plus je préfère encore me contenter de ce que je gagne aujourd'hui ! J'ai donc fait un vrai choix ! Je ne suis pas prêt à tout donner au travail juste pour de l'argent. Si un jour je travaille d'arrache pied ça sera par passion, pas pour les thunes ! Tout simplement parce que j'ai besoin de temps, et j'ai aussi besoin de tout mon esprit, pour penser... Si je travaille plus je n'ai plus le temps ni l'énergie pour penser. Et penser c'est être libre.
Le temps ça sert aussi à vivre en équilibre pour ne pas décrocher et partir en dépression comme des millions de français : faire du sport, manger correctement, s'amuser, se détendre, se cultiver, s'occuper de soi et ses proches, voyager (ça coûte pas si cher !) etc...
Je plains ces gens qui travaillent tout le temps sans réelle nécessité, qui pensent à leur boulot le week-end, en soirée et en vacances. Ces gens là ne pensent plus contrairement à ce qu'ils croient. Ils font fonctionner leur cerveau, mais seulement pour des intêrets financiers ou matérialistes. Ils ne pensent plus à eux, à leurs proches, aux autres, à la société, à la condition humaines, aux étoiles, à l'avenir...
C'est un engrenage ! Je n'invente rien en disant ça mais c'est tellement édifiant que certains ne concoivent même pas cette version des faits. Travailler beaucoup pour gagner beaucoup d'argent et le dépenser pour faire travailler les autres encore plus puis en vouloir plus pour acheter plus ou plus gros... C'est sans fin ! Selon moi je pense qu'il faut travailler pour ses besoins vitaux (et ceux de sa famille) ainsi que quelques besoins matérialistes de base, dus à notre culture et notre éducation, et le reste, cet excédent de travail qui survient parfois, ne devrait être motivé que par la passion ou par le besoin réel. Le reste n'a pas lieu d'être !
C'est ma vision des choses. Je ne sais pas exactement de quel bord politique je me trouve (même si j'ai une petite idée d'où on risque de me classer) et je m'en fous ! L'important c'est que j'aie pu prendre le temps d'y penser...
Ca a l'air con comme ça, mais a-t-on tous vraiment envie de gagner plus d'argent ou de travailler plus qu'on ne travaille déjà ? Au risque de fâcher ceux qui ne travaillent pas, ou pas assez, contre leur volonté, ou ceux qui aimeraient à juste titre avoir plus d'argent pour subvenir à des besoins de base, j'ai envie de dire non ! Non je ne veux pas travailler plus que ces 8/9 heures de travail effectif que je fais 5 jours par semaine et non je ne souhaite pas forcément gagner beaucoup plus. Car pour tout dire franchement j'aimerais gagner juste un peu plus pour assouvir certaines frustrations (bien souvent matérialistes je dois l'avouer) mais si possible en ne travaillant pas plus.
En effet, si je dois travailler plus je préfère encore me contenter de ce que je gagne aujourd'hui ! J'ai donc fait un vrai choix ! Je ne suis pas prêt à tout donner au travail juste pour de l'argent. Si un jour je travaille d'arrache pied ça sera par passion, pas pour les thunes ! Tout simplement parce que j'ai besoin de temps, et j'ai aussi besoin de tout mon esprit, pour penser... Si je travaille plus je n'ai plus le temps ni l'énergie pour penser. Et penser c'est être libre.
Le temps ça sert aussi à vivre en équilibre pour ne pas décrocher et partir en dépression comme des millions de français : faire du sport, manger correctement, s'amuser, se détendre, se cultiver, s'occuper de soi et ses proches, voyager (ça coûte pas si cher !) etc...
Je plains ces gens qui travaillent tout le temps sans réelle nécessité, qui pensent à leur boulot le week-end, en soirée et en vacances. Ces gens là ne pensent plus contrairement à ce qu'ils croient. Ils font fonctionner leur cerveau, mais seulement pour des intêrets financiers ou matérialistes. Ils ne pensent plus à eux, à leurs proches, aux autres, à la société, à la condition humaines, aux étoiles, à l'avenir...
C'est un engrenage ! Je n'invente rien en disant ça mais c'est tellement édifiant que certains ne concoivent même pas cette version des faits. Travailler beaucoup pour gagner beaucoup d'argent et le dépenser pour faire travailler les autres encore plus puis en vouloir plus pour acheter plus ou plus gros... C'est sans fin ! Selon moi je pense qu'il faut travailler pour ses besoins vitaux (et ceux de sa famille) ainsi que quelques besoins matérialistes de base, dus à notre culture et notre éducation, et le reste, cet excédent de travail qui survient parfois, ne devrait être motivé que par la passion ou par le besoin réel. Le reste n'a pas lieu d'être !
C'est ma vision des choses. Je ne sais pas exactement de quel bord politique je me trouve (même si j'ai une petite idée d'où on risque de me classer) et je m'en fous ! L'important c'est que j'aie pu prendre le temps d'y penser...
lundi, novembre 19, 2007
C'est la loterie qui fait l'homme
Qu'est-ce qui distingue l'homme de la machine ? Qu'est-ce qui nous distingue des animaux ? C'est la loterie !
En fait je trouve que c'est un très bon exemple de ce qui fait l'humanité. Chaque personne qui joue au Loto est pleinement consciente qu'elle n'a pas plus d'une chance sur plusieurs millions de tirer le gros lot, et pourtant elle joue. Et même si le soir devant sa télévision il n'y croit pas vraiment, au fond chaque joueur conserve un brin d'espoir. C'est ça qui fait l'homme : le jeu, l'espoir, le rêve, l'ambition, le désir de vivre à fond avant de mourir. Toutes ces aptitudes profondément humaines.
Tous les chiffres du monde n'y changeront rien, toutes les statistiques, tous les rabat-joie, les terre-à-terre... La loterie c'est un des derniers bastions de l'humanité, le dernier rempart de notre inconscient.
C'est un peu comme l'amour : un des rares sentiments sur lesquels notre société n'a pas d'emprise. On cherche toujours à tout contrôler, à tout comprendre, tout expliquer, tout construire, tout penser. Et pourtant il reste des choses sur lesquelle nous n'avons que peu d'influence. Ce sont ces petites choses qui font que nous sommes encore humains.
Le contrôle c'est la mort, la loterie c'est la vie !
En fait je trouve que c'est un très bon exemple de ce qui fait l'humanité. Chaque personne qui joue au Loto est pleinement consciente qu'elle n'a pas plus d'une chance sur plusieurs millions de tirer le gros lot, et pourtant elle joue. Et même si le soir devant sa télévision il n'y croit pas vraiment, au fond chaque joueur conserve un brin d'espoir. C'est ça qui fait l'homme : le jeu, l'espoir, le rêve, l'ambition, le désir de vivre à fond avant de mourir. Toutes ces aptitudes profondément humaines.
Tous les chiffres du monde n'y changeront rien, toutes les statistiques, tous les rabat-joie, les terre-à-terre... La loterie c'est un des derniers bastions de l'humanité, le dernier rempart de notre inconscient.
C'est un peu comme l'amour : un des rares sentiments sur lesquels notre société n'a pas d'emprise. On cherche toujours à tout contrôler, à tout comprendre, tout expliquer, tout construire, tout penser. Et pourtant il reste des choses sur lesquelle nous n'avons que peu d'influence. Ce sont ces petites choses qui font que nous sommes encore humains.
Le contrôle c'est la mort, la loterie c'est la vie !
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mardi, novembre 06, 2007
Le crédit : la plus grosse pollution personnelle
On nous rabâche sans cesse que si on souhaite agir pour l'environnement, à notre mesure, on peut chacun faire un peu pour la planète en triant nos déchets ou en éteignant nos lumières. Mais au-delà de ces petits gestes quotidiens qui sont devenus évidents, l'écologie personnelle passe par un véritable changement de mentalité. Et si on commençait par arrêter de vivre au-dessus de nos moyens ?
Une étude très sérieuse, mais néanmoins originale dans sa forme, d'un Suisse dont j'ai oublié le nom consiste à calculer l'espace vital moyen nécessaire à chacun sur notre planète : la superficie exploitable pour vivre (avec des denrées alimentaires, de l'eau, un logement etc...)... A priori il s'agirait de 1,8 hectare par terrien. Pas mal me direz-vous sâchant qu'on vit tous dans un appartement entre 10 et 120 m² en moyenne (parfois avec balcon) ! Sauf qu'en fait chacun de nous utilise 2,2 hectare de la planète pour vivre ! Les américains étant les champions du monde avec plus de 9 hectares par habitant.
Donc on vit au-dessus de nos capacités ! Chaque jour l'homme utilise plus que ce que la terre peut lui fournir. On épuise nos réserves, on empêche la nature de se régénérer à son rythme. Résultat : elle meurt à petit feu, étouffée par nos désirs fonciers...
C'est une image intéressante que de comparer nos "besoins" quotidiens à une superficie. Mais je trouve ça plutôt parlant !
Ainsi on peut dire qu'on vit déjà tous à crédit. On parit sur l'avenir en se disant "pas de problèmes à surconsommer, on va trouver des solutions, la terre a de toutes façons suffisamment de réserves pour tenir". Oui mais jusqu'à quand ? C'est le même mode de réflexion lorsqu'on contracte un petit prêt à la consommation pour acheter un téléviseur LCD de 109 cm de diagonale ou qu'on se paie à crédit une voiture hybride non polluante ou une belle maison à la campagne. On pollue ! On consomme plus qu'on ne peut se permette et on alimente la machine de la surconsommation. On ne pense qu'au présent, peu importe les conséquences futures, le risque encouru. Il nous faut ces choses là maintenant tout de suite... On galèrera plus tard, tant pis. Et on comblera ce vide économique en travaillant plus, en achetant d'autres choses pour oublier le temps qu'on engouffre dans le travail, on se noiera dans la boulimie peut-être voire dans les antidépresseurs... C'est sans fin.
Contentons-nous de ce qu'on a déjà ou du moins de ce qu'on peut se permettre, chacun à son rythme !
Une étude très sérieuse, mais néanmoins originale dans sa forme, d'un Suisse dont j'ai oublié le nom consiste à calculer l'espace vital moyen nécessaire à chacun sur notre planète : la superficie exploitable pour vivre (avec des denrées alimentaires, de l'eau, un logement etc...)... A priori il s'agirait de 1,8 hectare par terrien. Pas mal me direz-vous sâchant qu'on vit tous dans un appartement entre 10 et 120 m² en moyenne (parfois avec balcon) ! Sauf qu'en fait chacun de nous utilise 2,2 hectare de la planète pour vivre ! Les américains étant les champions du monde avec plus de 9 hectares par habitant.
Donc on vit au-dessus de nos capacités ! Chaque jour l'homme utilise plus que ce que la terre peut lui fournir. On épuise nos réserves, on empêche la nature de se régénérer à son rythme. Résultat : elle meurt à petit feu, étouffée par nos désirs fonciers...
C'est une image intéressante que de comparer nos "besoins" quotidiens à une superficie. Mais je trouve ça plutôt parlant !
Ainsi on peut dire qu'on vit déjà tous à crédit. On parit sur l'avenir en se disant "pas de problèmes à surconsommer, on va trouver des solutions, la terre a de toutes façons suffisamment de réserves pour tenir". Oui mais jusqu'à quand ? C'est le même mode de réflexion lorsqu'on contracte un petit prêt à la consommation pour acheter un téléviseur LCD de 109 cm de diagonale ou qu'on se paie à crédit une voiture hybride non polluante ou une belle maison à la campagne. On pollue ! On consomme plus qu'on ne peut se permette et on alimente la machine de la surconsommation. On ne pense qu'au présent, peu importe les conséquences futures, le risque encouru. Il nous faut ces choses là maintenant tout de suite... On galèrera plus tard, tant pis. Et on comblera ce vide économique en travaillant plus, en achetant d'autres choses pour oublier le temps qu'on engouffre dans le travail, on se noiera dans la boulimie peut-être voire dans les antidépresseurs... C'est sans fin.
Contentons-nous de ce qu'on a déjà ou du moins de ce qu'on peut se permettre, chacun à son rythme !
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La métaphore de l'île de Pâques
On connaît plus l'île de Pâques pour sa dimension touristique (les fameuses statues et leur mystère : les moai) mais moins d'un aspect historique. Il se trouve en effet que l'histoire de cette île est édifiante ; car elle il s'agit d'un bel exemple de ce que l'humanité peut faire de pire : l'autodestruction.
Cette île véhiculant une image on ne peut plus mystérieuse se situe dans l'Océan Pacifique à 3700 kilomètres du Chili (le pays dont elle dépend) et à 4000 Kms de Tahiti. La terre la plus proche est Pitcairn située à 2000 Kms. Ca c'est pour le contexte...
Certains scientifiques et ethnologues affichent un penchant pour une thèse un peu surprenante autour de l'extinction en quelques siècles seulement du peuple Pascuan. Une thèse qui finalement peut s'apparenter, avec un peu de retenue, simplement à une belle métaphore de notre planète et de ce qui nous attend.
Certains affirment donc que l'extinction de ce peuple apparu en l'an 1000 après JC et disparu vers la fin du 19ème siècle serait du à un simple processus d'autodestruction que seul l'homme est capable de mettre en place avec une telle radicalité. Au fil des siècles l'île fut habitée par plusieurs tribus (on en a compté jusqu'à 12) qui se sont livrées à des guerres incessantes principalement pour des raisons foncières et le partage du pouvoir. Ces rivalités et l'extension de la population (l'île atteignit 10 000 habitants à son maximum) ont poussé ses habitants à surexploiter les resources de l'ïle, dont la matière première la plus précieuse était le bois, pour fabriquer des bateaux de pêche, des armes et des outils pour ériger leurs grandioses statues : symbole de puissance tribale et de croyance divine. En exploitant le bois au-delà des capacités de régénération de l'île, les pascuans auraient donc signé leur arrêt de mort, coupant leur dernier arbre pour construire leur dernier bateau en état de naviguer... Plus de resources vitales (plus de pêche, plus de fruits...) le peuple pascuan sombra dans le canibalisme, la maladie et la malnutrition avant de disparaître complètement de la surface de l'île laissant derrière eux les symbôles de leur puissance et de leur rivalités : les moai.
Une belle leçon pour les terriens que nous sommes, surexploitant outrageusement et consciemment les capacités naturelles de notre planète, batissant des villes et des monuments à la hauteur de notre ambition, et livrant bataille pour des terres, des divergences religieuses ou des énergies.
Cette île véhiculant une image on ne peut plus mystérieuse se situe dans l'Océan Pacifique à 3700 kilomètres du Chili (le pays dont elle dépend) et à 4000 Kms de Tahiti. La terre la plus proche est Pitcairn située à 2000 Kms. Ca c'est pour le contexte...
Certains scientifiques et ethnologues affichent un penchant pour une thèse un peu surprenante autour de l'extinction en quelques siècles seulement du peuple Pascuan. Une thèse qui finalement peut s'apparenter, avec un peu de retenue, simplement à une belle métaphore de notre planète et de ce qui nous attend.
Certains affirment donc que l'extinction de ce peuple apparu en l'an 1000 après JC et disparu vers la fin du 19ème siècle serait du à un simple processus d'autodestruction que seul l'homme est capable de mettre en place avec une telle radicalité. Au fil des siècles l'île fut habitée par plusieurs tribus (on en a compté jusqu'à 12) qui se sont livrées à des guerres incessantes principalement pour des raisons foncières et le partage du pouvoir. Ces rivalités et l'extension de la population (l'île atteignit 10 000 habitants à son maximum) ont poussé ses habitants à surexploiter les resources de l'ïle, dont la matière première la plus précieuse était le bois, pour fabriquer des bateaux de pêche, des armes et des outils pour ériger leurs grandioses statues : symbole de puissance tribale et de croyance divine. En exploitant le bois au-delà des capacités de régénération de l'île, les pascuans auraient donc signé leur arrêt de mort, coupant leur dernier arbre pour construire leur dernier bateau en état de naviguer... Plus de resources vitales (plus de pêche, plus de fruits...) le peuple pascuan sombra dans le canibalisme, la maladie et la malnutrition avant de disparaître complètement de la surface de l'île laissant derrière eux les symbôles de leur puissance et de leur rivalités : les moai.
Une belle leçon pour les terriens que nous sommes, surexploitant outrageusement et consciemment les capacités naturelles de notre planète, batissant des villes et des monuments à la hauteur de notre ambition, et livrant bataille pour des terres, des divergences religieuses ou des énergies.
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mardi, mai 15, 2007
De quoi parle ce blog ?
Les médias sélectionnent largement l'information qu'ils veulent porter à notre connaissance. Quelle information mérite-t-elle d'être traitée en priorité par rapport à une autre ? Pourquoi un Tsunami en Asie ou un attentat à Londre méritent ils d'être plus médiatisés qu'une guerre au Darfour, un génocide au Rwanda ou un énième africain mort du Sida ou simplement de faim ?
De la même manière il est important de rester le plus objectif possible face aux images et aux articles qu'on daigne porter à notre connaissance. La grande majorité de l'information qu'on nous propose aujourd'hui est subjective, manipulée, influencée, recopiée ou politisée... Ne prenez jamais pour acquis ce qu'on vous dit : restez objectif !
Venez flipper avec moi : sur tout et n'importe quoi mais plutôt sur TOUT et pas n'importe comment !
Note : je m'autorise parfois quelques hors-sujets, ce blog étant, au-delà d'une critique de l'objectivité des médias, un défouloir quant à toutes mes crises pseudo-révolitionnaires et autres égo-trips.
De la même manière il est important de rester le plus objectif possible face aux images et aux articles qu'on daigne porter à notre connaissance. La grande majorité de l'information qu'on nous propose aujourd'hui est subjective, manipulée, influencée, recopiée ou politisée... Ne prenez jamais pour acquis ce qu'on vous dit : restez objectif !
Venez flipper avec moi : sur tout et n'importe quoi mais plutôt sur TOUT et pas n'importe comment !
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De Louis XVI à Bush, en passant par Sarkozy, De Tocqueville analyse nos leaders
Une fois n'est pas coutume, je me permets de citer presque intégralement un texte d'Alexis de Tocqueville que quelqu'un a eu la bonne idée de me faire circuler par mail. Je savais que cet auteur était brillant mais je ne savais pas à quel point il pouvait être un visionnaire.
« Il y a un passage très périlleux dans la vie des peuples démocratiques.
« Lorsque le goût des jouissances matérielles se développe chez un de ces peuples plus rapidement que les lumières et que les habitudes de la liberté, il vient un moment où les hommes sont emportés et comme hors d’eux-mêmes, à la vue de ces biens nouveaux qu’ils sont prêts à saisir. Préoccupés du seul soin de faire fortune, ils n’aperçoivent plus le lien étroit qui unit la fortune particulière de chacun d’eux à la prospérité de tous. Il n’est pas besoin d’arracher à de tels citoyens les droits qu’ils possèdent ; ils les laissent volontiers échapper eux-mêmes(…)
« Si, à ce moment critique, un ambitieux habile vient à s’emparer du pouvoir, il trouve que la voie à toutes les usurpations est ouverte. Qu’il veille quelque temps à ce que tous les intérêts matériels prospèrent, on le tiendra aisément quitte du reste. Qu’il garantisse surtout le bon ordre. Les hommes qui ont la passion des jouissances matérielles découvrent d’ordinaire comment les agitations de la liberté troublent le bien-être, avant que d’apercevoir comment la liberté sert à se le procurer ; et, au moindre bruit des passions politiques qui pénètrent au milieu des petites jouissances de leur vie privée, ils s’éveillent et s’inquiètent ; pendant longtemps la peur de l’anarchie les tient sans cesse en suspens et toujours prêts à se jeter hors de la liberté au premier désordre.
« Je conviendrai sans peine que la paix publique est un grand bien ; mais je ne veux pas oublier cependant que c’est à travers le bon ordre que tous les peuples sont arrivés à la tyrannie. Il ne s’ensuit pas assurément que les peuples doivent mépriser la paix publique ; mais il ne faut pas qu’elle leur suffise. Une nation qui ne demande à son gouvernement que le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond du cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître. (…)
« Il n’est pas rare de voir alors sur la vaste scène du monde, ainsi que sur nos théâtres, une multitude représentée par quelques hommes. Ceux-ci parlent seuls au nom d’une foule absente ou inattentive ; seuls ils agissent au milieu de l’immobilité universelle ; ils disposent, suivant leur caprice, de toutes choses, ils changent les lois et tyrannisent à leur gré les mœurs ; et l’on s’étonne en voyant le petit nombre de faibles et d’indignes mains dans lesquelles peut tomber un grand peuple…
« Le naturel du pouvoir absolu, dans les siècles démocratiques, n’est ni cruel ni sauvage, mais il est minutieux et tracassier. »
« Il y a un passage très périlleux dans la vie des peuples démocratiques.
« Lorsque le goût des jouissances matérielles se développe chez un de ces peuples plus rapidement que les lumières et que les habitudes de la liberté, il vient un moment où les hommes sont emportés et comme hors d’eux-mêmes, à la vue de ces biens nouveaux qu’ils sont prêts à saisir. Préoccupés du seul soin de faire fortune, ils n’aperçoivent plus le lien étroit qui unit la fortune particulière de chacun d’eux à la prospérité de tous. Il n’est pas besoin d’arracher à de tels citoyens les droits qu’ils possèdent ; ils les laissent volontiers échapper eux-mêmes(…)
« Si, à ce moment critique, un ambitieux habile vient à s’emparer du pouvoir, il trouve que la voie à toutes les usurpations est ouverte. Qu’il veille quelque temps à ce que tous les intérêts matériels prospèrent, on le tiendra aisément quitte du reste. Qu’il garantisse surtout le bon ordre. Les hommes qui ont la passion des jouissances matérielles découvrent d’ordinaire comment les agitations de la liberté troublent le bien-être, avant que d’apercevoir comment la liberté sert à se le procurer ; et, au moindre bruit des passions politiques qui pénètrent au milieu des petites jouissances de leur vie privée, ils s’éveillent et s’inquiètent ; pendant longtemps la peur de l’anarchie les tient sans cesse en suspens et toujours prêts à se jeter hors de la liberté au premier désordre.
« Je conviendrai sans peine que la paix publique est un grand bien ; mais je ne veux pas oublier cependant que c’est à travers le bon ordre que tous les peuples sont arrivés à la tyrannie. Il ne s’ensuit pas assurément que les peuples doivent mépriser la paix publique ; mais il ne faut pas qu’elle leur suffise. Une nation qui ne demande à son gouvernement que le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond du cœur ; elle est esclave de son bien-être, et l’homme qui doit l’enchaîner peut paraître. (…)
« Il n’est pas rare de voir alors sur la vaste scène du monde, ainsi que sur nos théâtres, une multitude représentée par quelques hommes. Ceux-ci parlent seuls au nom d’une foule absente ou inattentive ; seuls ils agissent au milieu de l’immobilité universelle ; ils disposent, suivant leur caprice, de toutes choses, ils changent les lois et tyrannisent à leur gré les mœurs ; et l’on s’étonne en voyant le petit nombre de faibles et d’indignes mains dans lesquelles peut tomber un grand peuple…
« Le naturel du pouvoir absolu, dans les siècles démocratiques, n’est ni cruel ni sauvage, mais il est minutieux et tracassier. »
Alexis de Tocqueville
Extrait de De la Démocratie en Amérique, Livre II, 1840 (10/18, 1963)
Extrait de De la Démocratie en Amérique, Livre II, 1840 (10/18, 1963)
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mardi, avril 03, 2007
"J'attends" : le nouveau clip d'Hocus Pocus
Puisque je suis depuis peu assez centré sur les problématiques environnementales, voilà un clip qui traite du sujet avec des mots qui m'ont particulièrement touché puisque assez similaires à certaines de mes pensées, plutôt culpabilisantes...
"J'attends"... http://www.streamingbox.com/universal/universal_hocus_pocus.htm
En plus d'avoir écrit un très bon texte, 20SYL, le rappeur de ce groupe Hip-hop nantais, et son label On And On, nous offrent là un clip très esthétique avec un vrai travail de post-production. Beaucoup de sobriété et d'éfficacité au service de l'image et du message qu'elle véhicule. Une véritable réussite quand on connait le peu de moyens que cette équipe peut investir dans sa promotion.
Hocus Pocus : un groupe à suivre de près ! D'après moi un des tous meilleurs projets français. influencés par The Roots, ils sont les premiers à avoir proposé, en France, une formation Hip-hop organique (avec de vrais instruments). A découvrir surtout sur scène !
"J'attends"... http://www.streamingbox.com/universal/universal_hocus_pocus.htm
En plus d'avoir écrit un très bon texte, 20SYL, le rappeur de ce groupe Hip-hop nantais, et son label On And On, nous offrent là un clip très esthétique avec un vrai travail de post-production. Beaucoup de sobriété et d'éfficacité au service de l'image et du message qu'elle véhicule. Une véritable réussite quand on connait le peu de moyens que cette équipe peut investir dans sa promotion.
Hocus Pocus : un groupe à suivre de près ! D'après moi un des tous meilleurs projets français. influencés par The Roots, ils sont les premiers à avoir proposé, en France, une formation Hip-hop organique (avec de vrais instruments). A découvrir surtout sur scène !
lundi, avril 02, 2007
Comment les riches détruisent la planète ?
Longtemps que j'avais pas écrit ici... Et qu'est-ce qui peut bien susciter mon retour sur ces pages ? Cette fois c'est une question d'écologie qui motive un retour de sentiment révolutionnaire dans mes entrailles. Cela fait déjà un moment que je m'intéresse de plus en plus au phénomène et que j'ai envie de moins regarder passivement la planète se dégrader (et y participer) pour être juste un peu plus actif dans ma volonté de la protéger. Première étape : l'achat d'un bouquin qui traite du sujet et me rende un peu moins con en la matière : "Comment les riches détruisent la planète" d'Hervé Kempf. Petit avant-goût quelques chapitres plus tard...
Hervé Kempf est un des journalistes écolo les plus réputés en France, spécialiste de l'environnement depuis plus de 20 ans. Il a écrit dans Courrier International, La Recherche et actuellement dans Le Monde. L'axe qu'il a choisi pour écrire son livre a tout particulièrement attiré mon attention car il aborde les problèmes écologiques sous un angle beaucoup plus social que la plupart des éléments bien plus médiatiques qui parviennent à notre connaissance ; souvent bien trop teintés de catastrophisme, d'illusions et autres pièges du "développement durable", emmenés par des groupes financiers ou énergétiques qui ont intérêt à nous embrouiller sur ce terrain.
En somme Hervé Kempf nous explique que pour envisager de traiter la crise écologique il faut d'abord s'attaquer à la crise sociale. Même démarche que certains estiment intéressante pour régler les problèmes de violence en banlieue. Ce n'est pas avec plus de flics, un état sécuritaire et une immigration limitée qu'on affaiblira les violences mais plutôt en travaillant sur la source du problème, bien souvent clairement sociale. Même combat pour la dégradation de notre planète, il vaut mieux directement travailler sur la conscience collective de la richesse de notre Terre et son érosion, pour limiter les dégâts, plutôt que de planter des éoliennes et travailler sur des moteurs écolos depuis plus de 20 ans sans résultats bien concrets pour l'instant... Il faut cibler monsieur tout le monde bien entendu mais aussi et surtout les dirigeants, les riches. Voilà, je crois, le propo de monsieur Kempf.
Après un rapide état des lieux très documenté sur l'état de la planète, on entre ensuite dans le vif du sujet et les idées véhiculées par l'auteur me parlent tout particulièrement. Voilà quelqu'un de bien renseigné, réaliste mais pas résigné, quelqu'un qui rentre dans le lard du système plutôt que de s'enfermer dans un pacifisme écolo admirable mais manquant d'efficacité face à des requins aux dents acérées.
La suite bientôt, quand j'aurais ingurgité quelques chapitres de plus.
Le site d'Hervé Kempf : www.reporterre.net
Hervé Kempf est un des journalistes écolo les plus réputés en France, spécialiste de l'environnement depuis plus de 20 ans. Il a écrit dans Courrier International, La Recherche et actuellement dans Le Monde. L'axe qu'il a choisi pour écrire son livre a tout particulièrement attiré mon attention car il aborde les problèmes écologiques sous un angle beaucoup plus social que la plupart des éléments bien plus médiatiques qui parviennent à notre connaissance ; souvent bien trop teintés de catastrophisme, d'illusions et autres pièges du "développement durable", emmenés par des groupes financiers ou énergétiques qui ont intérêt à nous embrouiller sur ce terrain.
En somme Hervé Kempf nous explique que pour envisager de traiter la crise écologique il faut d'abord s'attaquer à la crise sociale. Même démarche que certains estiment intéressante pour régler les problèmes de violence en banlieue. Ce n'est pas avec plus de flics, un état sécuritaire et une immigration limitée qu'on affaiblira les violences mais plutôt en travaillant sur la source du problème, bien souvent clairement sociale. Même combat pour la dégradation de notre planète, il vaut mieux directement travailler sur la conscience collective de la richesse de notre Terre et son érosion, pour limiter les dégâts, plutôt que de planter des éoliennes et travailler sur des moteurs écolos depuis plus de 20 ans sans résultats bien concrets pour l'instant... Il faut cibler monsieur tout le monde bien entendu mais aussi et surtout les dirigeants, les riches. Voilà, je crois, le propo de monsieur Kempf.
Après un rapide état des lieux très documenté sur l'état de la planète, on entre ensuite dans le vif du sujet et les idées véhiculées par l'auteur me parlent tout particulièrement. Voilà quelqu'un de bien renseigné, réaliste mais pas résigné, quelqu'un qui rentre dans le lard du système plutôt que de s'enfermer dans un pacifisme écolo admirable mais manquant d'efficacité face à des requins aux dents acérées.
La suite bientôt, quand j'aurais ingurgité quelques chapitres de plus.
Le site d'Hervé Kempf : www.reporterre.net
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mercredi, juin 21, 2006
Les yeux carrés
J'ai volontairement choisi de rédiger ce billet, un brin hors-sujet, un soir, tard, avec une petite migraine ophtalmique qui me picote derrière les yeux et fait battre une grosse veine sur ma tempe gauche. L'écran occupe plus de 50% de ma vie, parfois 70 voire 80%... J'ai souvent le sentiment que l'écran asservit ma vie.
Pire il en est le maître incontesté. Je ne sais rien faire sans lui, je pratique trop d'activités par son intemédiaire, trop de loisirs, de passions et de travail... Même mes rares moments de détente sont rythmés par la télé, trop fatigué pour entreprendre une activité plus manuelle, sociale, créative : humaine ! L'écran nous rend mou, fatigué, migraineux. Il nous agace quand son fidèle compagnon, l'ordinateur, ne fonctionne pas ou mal, quitte à rentrer dans de grosses colères parfois en cas de supression inopinée d'un fichier ou en cas de plantage.
Mon métier consiste à créer des sites internet et communiquer par internet, à designer des supports graphiques avec Photoshop. Je fais de la musique sur ordinateur, de la photo que je retouche ensuite sur ordinateur. Parfois je monte des vidéos sur mon écran 20 pouces (j'ai besoin de place pour mon imagination numérique débordante). Je ne peux plus me passer du mail pour rester en contact avec les gens, autant professionnellement que personnellement. Je trouve la moindre information sur internet : plus de bouquins, ou très peu, chez moi. Evidemment je grignote un paquet de films en DVD, sur le même écran pourtant. ET parfois je vais au cinéma pour observer scupuleusment un grand écran. Je suis DEPENDANT !
J'ai les yeux carrés et je ne sais pas comment m'en sortir... Je rêve de photographie argentique, de musique analogique, de piano à corde, de dessin manuel, de peinture, de contacts réels avec les gens (dans la "vraie vie"), parfois même de téléphone c'est vous dire... Mais c'est tellement plus difficile et fastidieux. Il faut du temps pour tout ça. Et du temps moi j'en ai pas. C'est pour ça qu'on court après le numérique, les écrans LCD et plasma... C'est parce qu'on manque de temps ! On court après le temps... Et je suis las de courir. Je veux quitter mon écran des yeux, regarder la vie en face, ôter ce voile qui perturbe ma vision réaliste des choses. Resentir plutôt que d'observer. Voir plus que regarder !
Mais pas maintenant, plus tard... Là j'ai pas vraiment le temps...
Pire il en est le maître incontesté. Je ne sais rien faire sans lui, je pratique trop d'activités par son intemédiaire, trop de loisirs, de passions et de travail... Même mes rares moments de détente sont rythmés par la télé, trop fatigué pour entreprendre une activité plus manuelle, sociale, créative : humaine ! L'écran nous rend mou, fatigué, migraineux. Il nous agace quand son fidèle compagnon, l'ordinateur, ne fonctionne pas ou mal, quitte à rentrer dans de grosses colères parfois en cas de supression inopinée d'un fichier ou en cas de plantage.
Mon métier consiste à créer des sites internet et communiquer par internet, à designer des supports graphiques avec Photoshop. Je fais de la musique sur ordinateur, de la photo que je retouche ensuite sur ordinateur. Parfois je monte des vidéos sur mon écran 20 pouces (j'ai besoin de place pour mon imagination numérique débordante). Je ne peux plus me passer du mail pour rester en contact avec les gens, autant professionnellement que personnellement. Je trouve la moindre information sur internet : plus de bouquins, ou très peu, chez moi. Evidemment je grignote un paquet de films en DVD, sur le même écran pourtant. ET parfois je vais au cinéma pour observer scupuleusment un grand écran. Je suis DEPENDANT !
J'ai les yeux carrés et je ne sais pas comment m'en sortir... Je rêve de photographie argentique, de musique analogique, de piano à corde, de dessin manuel, de peinture, de contacts réels avec les gens (dans la "vraie vie"), parfois même de téléphone c'est vous dire... Mais c'est tellement plus difficile et fastidieux. Il faut du temps pour tout ça. Et du temps moi j'en ai pas. C'est pour ça qu'on court après le numérique, les écrans LCD et plasma... C'est parce qu'on manque de temps ! On court après le temps... Et je suis las de courir. Je veux quitter mon écran des yeux, regarder la vie en face, ôter ce voile qui perturbe ma vision réaliste des choses. Resentir plutôt que d'observer. Voir plus que regarder !
Mais pas maintenant, plus tard... Là j'ai pas vraiment le temps...
mardi, mars 28, 2006
Le 11 septembre 2001 : qui croire ?
De nombreux doutes ont été émis dès le début quand aux inculpations formulées par le gouvernement Bush vis à vis d'Al Qaida et du terrorisme en général. Peu de preuves quant aux kamikazes et des éléments très troublants venant contrecarrer la véracité des informations qui nous parviennent au compte-goutte. Les 2 tours du Wolrd Trade Center se sont elles bien éfondrées toutes seules ? Un avion s'est-il bien encastré dans le Pentagone ? La "belle" histoire de cet avion détourné et finalement repris en main (avant le crash) par des passagers est elle véridique ? Beaucoup de questions et pas beaucoup de réponses...
Parmis plusieurs investigations sur le sujet en voici deux réalisées par des américains et traduites en français. Elles proposent une vision pour le moins surprenante des attentats du 11 septembre. En décortiquant minutieusement toutes les images, textes et interviews autour de ce sujet, ceux-ci nous expliquent que cet "attentat" aurait été commandité par l'administration Bush afin de justifier le renforcement de la défense nationale et le démarrage d'une grande campagne politique et militaire au moyen-orient... Rien que ça !
2 Reportages à regarder avec le plus de recul possible :
> Loose Change (VF)
> Loose Change 2nd Edition (VF)
CES DEUX VIDEOS SONT DISPONIBLES SUR CE SITE : http://reopen911.online.fr/
Le premier analyse les évenements du 11 septembre pour nous démontrer les éventuelles "petites erreurs" et autres "petits oublis" des médias sur ce sujet. Le second s'attarde plus au contexte politique expliquant les intentions de cette éventuelle manipulation.
Vous remarquerez que je m'efforce de parler au conditionnel. Car le fait est que, même si ces deux documentaires sont très bien faits, sont très troublants et posent de vraies questions, je ne peux pas vérifier si leurs sources sont sûres, et vous non plus. Ne croyez que ce que vous ne pouvez pas vérifier ! C'est la règle sur ce type d'affaire où corruption, pressions, politique et argent viennent forcément fausser la donne. Pour qui que ce soit...
Je ne vous les présente que pour information. Parce que moi aussi je suis très sceptique quand à la réalité de ce qui s'est passé ce jour là, dans les jours le précédent et ceux d'après. On nous dit pas tout c'est évident ! Mais c'est pas pour autant que je vais croire a contrario ce qu'avencent ces journalistes (le sont ils vraiment ? A vérifier...). Ca permet juste de faire avancer sa propre objectivité. Et c'est bien le but de ce blog. Connaître toutes les versions de la réalité (ou du mensonge) pour pouvoir se forger un avis le plus objectif possible.
Parmis plusieurs investigations sur le sujet en voici deux réalisées par des américains et traduites en français. Elles proposent une vision pour le moins surprenante des attentats du 11 septembre. En décortiquant minutieusement toutes les images, textes et interviews autour de ce sujet, ceux-ci nous expliquent que cet "attentat" aurait été commandité par l'administration Bush afin de justifier le renforcement de la défense nationale et le démarrage d'une grande campagne politique et militaire au moyen-orient... Rien que ça !
2 Reportages à regarder avec le plus de recul possible :
> Loose Change (VF)
> Loose Change 2nd Edition (VF)
CES DEUX VIDEOS SONT DISPONIBLES SUR CE SITE : http://reopen911.online.fr/
Le premier analyse les évenements du 11 septembre pour nous démontrer les éventuelles "petites erreurs" et autres "petits oublis" des médias sur ce sujet. Le second s'attarde plus au contexte politique expliquant les intentions de cette éventuelle manipulation.
Vous remarquerez que je m'efforce de parler au conditionnel. Car le fait est que, même si ces deux documentaires sont très bien faits, sont très troublants et posent de vraies questions, je ne peux pas vérifier si leurs sources sont sûres, et vous non plus. Ne croyez que ce que vous ne pouvez pas vérifier ! C'est la règle sur ce type d'affaire où corruption, pressions, politique et argent viennent forcément fausser la donne. Pour qui que ce soit...
Je ne vous les présente que pour information. Parce que moi aussi je suis très sceptique quand à la réalité de ce qui s'est passé ce jour là, dans les jours le précédent et ceux d'après. On nous dit pas tout c'est évident ! Mais c'est pas pour autant que je vais croire a contrario ce qu'avencent ces journalistes (le sont ils vraiment ? A vérifier...). Ca permet juste de faire avancer sa propre objectivité. Et c'est bien le but de ce blog. Connaître toutes les versions de la réalité (ou du mensonge) pour pouvoir se forger un avis le plus objectif possible.
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